Pour la première fois lorsqu'il me domine de nouveau je me laisse faire , même si c'est un combat avec moi même. Ces baisers qui éveillent ma peau me le font oublier lentement. Je m'éveille à chacune de ses caresses et je commence à bouillir de l'intérieur. Des soupires s'échappent de mes lèvres et je m,abandonne complètement à Enzo. ce sublime inconnu ne me laisse pas indifférente. Je le laisse me déboutonner mon jean avant de m'attaquer au siens. Je lui retire et glisse une main dans son boxer pour caresser ses fesses. Je continue de l'embrasser et de mordiller ses lèvres pendant que mes mains ne cessent de découvrir son corps.

Enfin, elle se tait et sage, elle te laisse retirer entièrement son jean. La voilà sous toi, en sous-vêtements. Tu profites du moment pour regarder son corps et tu te mords la lèvre inférieure avant de retourner l'embrasser. T'es chaud bouillant, pas besoin d'être un génie pour le deviner. Tes lèvres se promènent sur le cou de Zelda puis tu descends sur sa poitrine et son ventre. De temps en temps, tu lui jettes des petits regards amusés. La voilà qu'elle s'abandonne entre tes mains. D'un main experte, tu déboutonnes son soutien-gorge, encore un moment et elle se retrouva nue comme un vers. Tu glisses une main dans sa culotte pour aller la titiller un peu, voir comment elle va réagir. Tu n'aurais pas pu rêver d'un meilleur petit-déjeuner.

Mes vêtements disparaissent de plus en plus si bien qu'il ne m'en reste qu'un. Sa main sur mon entre jambe fait venir mes joues d'un jolie rose par le plaisir. Je n'ai plus le choix de me libérer et de me laisser aller et le plaisir en aide beaucoup.Il va bientôt réussir à m'en tirer quelque gémissement. Je commence à reprendre le contrôle pour que je revienne sur lui. J'ai envie de l'observer moi aussi. Je commence à lui baisser son dernier vêtement pendant que je lui embrasse le torse de nouveau. D'une main experte je commence a caresser moi aussi son entre-jambe avec un sourire coquin. Je ne me gêne pour continuer à passer mes ongles sur sa peau pour lui en retirer quelque écorchure . Vengeance pour avoir eu le dessus sur moi.

Tu lui donnes du plaisir, elle prend timidement son pied. C'est bon Zelda, lâche-toi un peu. Elle repasse sur toi, pour te dominer. T'en as marre de chercher à la contredire alors tu la laisses faire, peut importe, dans tous les cas, tu as autant le contrôle qu'elle. Tu laisses partir ta tête en arrière, elle prend soin de toi autant en profiter. Puis elle se débrouille bien, t'en attendais pas moins venant de sa part. Lorsqu'elle t'enfonce ses ongles dans ta peau t'expire et tu la regardes d'un œil mauvais. « Don't do that. » T'attrapes son poignet et tu le tiens en hauteur. T's pas un griffoir, merde.

C'est la nuit, et qui dit temps de dormir, dit une Daïka qui n'arrive pas à fermer les yeux. T'es un oiseau de nuit, tu vis la nuit et tu dors le jour. tout au long de ton voyage, ça a été comme ça. des soirées jusqu'aux petites heures du matin puis hop, au lit. de même pour le boulot, c'est toujours plus payant de bosser la nuit. tout ça pour dire que t'es debout à te balader dans le coin sans ton sac cette fois. qu'une réserve de joints et de la vodka dans une bouteille d'eau. tu bois seule, tu fumes seule et t'aimes ça. le temps est parfait, les étoiles te fascinent. le bonheur. jusqu'à maintenant, il n'y avait que le silence. puis une voiture passe. un van plutôt, un tas de ferrailles qui te surprend sur la route. et il roule encore ? te demandes-tu, impressionné. il a la classe, tu dois l'admettre. pour la peine, tu suis le chemin qu'il emprunte à la recherche de compagnie. ou peut-être un nouvel endroit où dormir. ce serais marrant à voler. arrêté après un petit bout de chemin, tu manques laisser ta bouteille tomber par terre devant ce spectacle. magnifique, deux personnes qui se bécotent sous les projecteurs. manque que le popcorn et t'as un film d'adulte gratuit. sans te gêner, t'ouvres la porte du côté passager pour prendre place dans le van. « tu tournes un film porno ? » dis-tu en t'incrustant à côté de cet inconnu. l'alcool enlève toute trace de timidité dans ta personnalité.

Tout allait bien il y a quelque seconde. Personne en vue il n’était question juste de nous deux. À cette heure il n’y a pas beaucoup de personnes qui se baladent , mais il faut croire que cette fois oui. Alors pendant que nos baisers étaient échangés et que nos corps devenaient de plus en plus brûlant tout fait interrompu par le bruit d’une voiture puis la voix d’une personne. Oh crois moi tu n’es pas tombé sur la bonne personne. Il ne me fallu pas plus de 5 sec pour me relever enfiler mes vêtements ne laissant juste le t-shirt à remettre. Je me retournais vers la voiture prête à exploser. J’étais loins d’être d’humeur. J’étais encore en brassière , mais le jean revêtu et quand je vis que la personne n’était pas seule ma colère monta en flèche.«ÇA VA TA ASSEZ MATTER MAINTENANT» . Je m’avançais un peu plus proche de la voiture. «Aller dégage connard avant que je t’assome.» À la façon que j’agissais Enzo devait me prendre pour une vrais folle.Éloigne toi avant que je lance la première chose que je trouve sur ton pare-brise

T'es dans ton truc, tranquille, avec une meuf bien jolie qui va bientôt te passer sous la dent. Mais comme t'as jamais de chance faut qu'un clampin se ramène avec son mini van. La réaction de Zelda est instantanée, elle se lève et hurle sur le mec. Toi t'es un peu plus long à la détente, tu renfiles vite fait ton pantalon et tu t'approches un peu. Tu souris, car c'est marrant, tu serais capable de faire la même chose. Mais en même temps, ça te fait chier et ouais, t'as un peu les nerfs. Mais c'est rien comparer à Zelda. Tu ne sais pas qui est dans ce van, mais faut mieux pas qu'il en sorte. « Aller dégage connard avant que je t'assomme. » Torse nu, t'attrape Zelda par le bras pour là retenir un peu. « héé, calme toi ! » Elle ne va pas apprécier mais tu vas pas la laisser s'exciter pour une raison aussi futile. En attendant, tu poses ton regard sur le van. Sors de là mec, vient montrer ta petite tête.

J'avais plus envie de rester à cet endroit maintenant. Enzo venait de me tirer le bras en me disant de me calmer. Je lui lançais un regard sans le vouloir qui n'était pas très plaisant et amical. Je tiras mon bras pour qu'il le lâche et repris mon t-shirt qui gisait sur l'herbe. Je le remis au même moment .Je n'allais pas donner raison à ces deux inconnus qui se moquaient de nous deux à travers la vitre du pare-brise. Je me retournais maintenant vers Enzo. «Ouais je me calme , mais je ne reste pas ici plus longtemps.» J'en avais rien à faire , j'avais une belle journée sur le soleil qui m'attendait. Je pris une pomme dans l'herbe et la lança dans son pare-brise. Rien de très méchant , mais ça m'empêchait de lancer autre choses. Je contournais maintenant la van pour m'en aller.

Personne ne sort du van, mais t'entend le moteur ronronner alors tu regardes dans la direction du véhicule, même pas les couilles de montrer leur tête. Entre temps, Zelda s'est extirpée de ton emprise en te lançant un petit regard noir qui t'as fait sourire. Trop mignonne, cette fille, sérieusement. Elle se rhabille et se retourne vers toi. «Ouais je me calme, mais je ne reste pas ici plus longtemps.» Avant de contourner le van et de s'éloigner. Tu fais la moue, vraiment ? « Ok, bye. » Tu la laisses partir, t'as pas envie de lui courir après, c'est pas ta meuf et heureusement. Au lieu de ça t'enfile ton sweat qui trainait sur l'herbe humide et tu te cales contre le tronc d'un arbre pour rouler ton joint. T'as pas l'intention de bouger, du moins pour le moment et t'es curieux de savoir qui se cache dans ce van tout pourri.

Tu guettes en direction de là où Zelda est partie, sans l'apercevoir revenir. Elle est trop nerveuse cette fille. En attendant t'allumes ton joint et tu vois le van avancer vers toi, la fenêtre s'ouvre et le conducteur te regarde. Conducteur qui ne t'es pas inconnu d'ailleurs. - tiens mec, si tu lui dis que c'est goût fraise peut-être qu'elle reviendra te la tailler ta pipe. Tu souris à Sid, il a l'air d'être bien fièr de sa petite blague. Tu remarques une autre tête dans le van ou plutôt une touffe de cheveux blonds. « A mon avis tu vas plus en avoir besoin que moi. » Il est marrant dans son van, il doit surement s'en servir pour attirer la gente féminine, vu sa tête de gros puceau. - monte s'tu veux, j'te ramène chez toi. Tu le regardes, il est sérieux ? Tu rigoles doucement et tu tires sur ton joint. « Merci mais non, les plans à trois c'est pas vraiment mon truc. » De toute façon tu préfères marcher, t'aimes pas monter dans les voitures, du moins quand c'est pas toi qui conduis. Tu regardes Sid, tu lui souris puis tu rabats ta capuche sur ta tête avant de t'éloigner. T'as pas l'intention de rester planté là pendant deux heures.