Elle descend aussi et semble s'être calmée, du moins c'est ce qu'elle fait paraitre. « Tu t'en vas ? » Non tu ne comptes pas partir, tu veux juste bouger un peu car rester assit toute une nuit à parler avec une inconnue c'est pas trop ton genre, du moins jusqu'à présent. « Non, j'en ai juste marre d'être assis. » Tu regardes le ciel, c'est bien ça, le soleil se lève. Finalement t'aurais passer ta nuit ici avec Zelda, remarque c'est toujours mieux que tout seul dans ton appart' à te défoncer. « En tout cas ne me prend pas pour une folle je suis tout à fait normal, je n'agis simplement pas comme les autres. » Elle te regarde, dans les yeux et tu fais de même. Un truc t'empêche de partir, tu ne sais pas trop quoi. « T'inquiète, jt'aimes bien quand même. » C'est sorti tout seul et tu te choques toi-même. Non de dieu, tu viens de dire quoi là ? Tu passes ta main dans tes cheveux et tu renchaines. « J'ai la dalle, y'a des pommiers en bas, tu m'accompagnes ? » Ce n'est pas une pomme qui remplira ton estomac, mais c'est mieux que rien. Sans attendre sa réponse, tu te diriges vers les escaliers qui descendent vers la terre ferme.

Il me fit sourire d'avantage quand il me dit qu'il m'aimait et j'ai cru voir qu'il se sentait mal à l'aise d'avoir dit ça. Tant mieux , car je ne détestais pas sa présence. Sinon cela ferait déjà longtemps que je lui aurais fait comprendre pour le faire déguerpir.«Avec plaisir ! Le premier qui arrive en bas .» Je me retournais pour marcher de reculons en la regardant. Ah c'est vrais mes jeux ne t'amusent pas tant , mais j'ai besoin de me dégourdir les jambes un peu ça fait longtemps qu'on est assis tout de même.Je la tiras pour qu'il avance un peu plus vite et je le lâchais aussi vite et on voyait maintenant qu'une touche raison qui volait un peu entre les arbres descendant la colline vers les pommiers dont il parlait.«Allez paresseux !»

Bien sur qu'elle va te suivre, c'est toujours mieux d'être avec toi que seule de toute façon. Elle semble partante pour descendre, mais son instinct l'emporte. «Avec plaisir ! Le premier qui arrive en bas. » Un jeu encore, mais cette fois, c'est gentil alors tu te laisses emporter par son humeur enfantine. Elle te tire un peu, du coup, tu la suis sans retenue. « Allez paresseux ! » Tu dévales les marches, manquant plusieurs fois de te casser royalement la gueule. Une fois en bas, tu t'arrêtes pour reprendre ton souffle, car avec tout ce que tu fumes tes poumons ne sont pas forcément en forme. Tu regardes Zelda, petit papillon qui vole de fleurs en fleurs. « Tu va choper des pommes ? Je roule en attendant. » Tu t'assois dans l'herbe humide, les rayons du soleil se font de plus en plus présent et t'en profites pour détailler Zelda un peu mieux. Puis tu sors un pochon de weed, du tabac et des feuilles de la poche de ton jeans et tu commences à rouler ton précieux joint.

Enfin arrivé en bas j'ai déjà les yeux rivés sur le belles pommes rouges vifs dans les arbres.Les épaules dénudés je commence à ressentir le soleil sur la blancheur de ma chaire qui ressemble à une poupée de porcelaine. Elle redevient lentement chaud en oubliant sa froideur qui la tenu vivante toute la nuit.Je cueille deux trois pommes en le regardant parfois s'attarder à son joint. Par chance que cela ne me dérange pas du tout à la vitesse qu'il fume. Après qu'il est finit de le faire je lui lance le briquet suivit de deux pommes si bien qu'il n'a pas le temps de tout attraper le pauvre.«Pardon hahaha »Je viens m'asseoir à cotée de lui ou plutôt je me couche dans l'herbe fraîche encore par la rosée. Mes cheveux se mêlent au teint verdâtre du gazon et je croque dans ma pomme en regardant les arbres.

Elle se ramène avec des pommes pleins les mains, d'ailleurs elle t'en lancent deux. T'arrives à rattrapper la première mais l'autre te passe au dessus de la tête et pars s'écraser un peu plus loin. « Pardon hahaha » Elle se pose a côté de toi et croque dans sa pomme tandis que toi t'allumes ton joint. Tu fumes un peu, tranquillement puis tu lui tends. « J'espère que ça va pas trop te monter à la tête. » Déjà qu'elle a l'air bien tarée, faudrait pas que le joint la rende encore pire. Tu te laisses tomber à côté d'elle et tu croques dans ta pomme en observant le ciel. C'est un putain de bon moment, t'aurais pas pu rêver mieux.

«Je crois que mon état reste stable à un certain niveau , mais surveille moi quand même haha.» J'avais L'aire d'une vrais enfant qui ne fait que rigoler. Je ne me suis jamais vraiment soucier de rien encore plus depuis que je suis ici.Maintenant que le soleil était on ne pouvait plus jouer avec la nuit. Tout ces traits que je n'avais pas pu voir à travers la nuit se déchiffraient devant moi. Je pouvais maintenant assembler le casse- tête.Je continue de manger ma pomme en restant silencieuse. «Tu passe souvent la nuit avec des inconnus comme ça ?» Je m'étais relever sur mon coude pour le regarder pendant qu'il mangeait sa pomme aussi. Mes cheveux entouraient mon visage comme une cascade dessinant mes yeux parfaitement. Le jus de la pomme avait mouillé mes lèvres.

Jamais manger une pomme t'as rendu aussi heureux. En plus, c'est d'la pomme de compétition, bio et bien juteuse. « Je crois que mon état reste stable à un certain niveau , mais surveille moi quand même haha. » De toute façon, t'as que ça à faire pour le moment. C'est bien le vivre au jour le jour, de ne rien prévoir, d'aller là où tes pieds te mènent sans te poser de question. T'échangerais ta vie contre rien d'autre, c'est certain. «Tu passe souvent la nuit avec des inconnus comme ça ?» Tu la regardes, elle s'est redressée pour mieux te voir et toi t'en profites pour mieux détailler son doux visage. « Non vraiment pas, mais faut bien changer ses habitudes de temps en temps. » Tu croques une dernière fois dans ta pomme et tu jettes le trognon plus loin. Tes yeux se posent dans ceux de Zelda, puis sur ses lèvres qui brillent à cause du jus de pomme. T'aurais bien voulu venir les mordre, mais tu te retiens, après tout, tu ne connais pas Zelda, du moins pas encore assez pour faire ce genre de choses.

Je suis accro , je vis de cette liberté. Je ne me suis jamais senti bien cloitré dans quelque chose . Comme une personne claustrophobe dans un lieu restreint. Mes yeux se perdaient de nouveau dans les siens surtout que c'était beaucoup plus facile maintenant qu'il n'était pas qu'une simple lueur.«Tu as bien raison et je crois que tu les a changer quand même beaucoup avec une personne étrange comme moi.» Je finis ma pomme à mon tour. Je m'approche de lui encore dangereusement comme un prédateur sur sa proie. Nos corps se frôlent , mais je me repose de l'autre cotée de lui sur l'herbe en riant. «Ne me frappe pas surtout ! Je voulais simplement change de cotée.»

«Tu as bien raison et je crois que tu les a changer quand même beaucoup avec une personne étrange comme moi.» Tu m'étonnes, ne t'aurais pas pu tomber sur plus tarer qu'elle, mais en même temps elle a quelque chose d'enfantin. C'est surement ce qui fait que t'es encore là, allongé à côté d'elle. Enfin tu regrettes un peu tes pensées lorsqu'elle te roule dessus pour se retrouver de l'autre côté. «Ne me frappe pas surtout ! Je voulais simplement change de cotée.» Tu la regardes, tu la tues du regard, mais t'as aussi un sourire sur les lèvres. Elle rigole, encore et toujours. Elle semble bien s'amuser des bêtises qu'elle fait. « T'aurais pu rester sur moi, j'suis confortable aussi. » Tu la taquines gentiment, a toi de te montrer joueur maintenant. T'as envie de voir où tout ça va vous menez.

À mon plus grand plaisir cette façon il semblait vouloir rejoindre mon jeux et cela m'emballait. Cela devenait de plus en plus intéressant d'une certaine façon. J'allais sans doute être tester moi aussi.«T'aurais pas dû dire ça mon cher» En un clin d'oeil je venais de revenir à la position que j'étais il y a une de ça une minute. Je ne m'étais pas coucher sur lui m'est plutôt assise en la regardant avec un regard qui riait. Je ne faisais comme si rien n'était , mais ce genre de jeux était tout de même assez dangereux parce que ce n'était pas le même auquel on avait joué plutôt. En même temps je ne me posais pas tant de question comme à l'habitude. Je ne faisais qu'agir et j'oubliais bien ce qui pouvait se produire. Je suis libre de mes actions et il s'en ira quand cela ne lu plairas plus.«Et ensuite ?»

A ton grand plaisir elle répond a ton invitation. « T'aurais pas dû dire ça mon cher » La voilà qui se met a califourchon sur toi, décidément elle n'a peur de rien cette Zelda. Tu t'appuies sur tes coudes à fin de te redresser un peu et tu la regardes, un véritable sourire posé sur tes lèvres. Elle rigole encore, en faite, elle rigole toujours. Tant mieux, c'est toujours jolie une fille qui rigole et au moins sa prouve qu'elle se sent bien avec toi. « Et ensuite ? » Elle en demande encore, toujours plus. Alors tu la fais basculer, de façon à te retrouver au-dessus d'elle. T'attrapes ses mains que tu mets au-dessus de sa tête et tu maintiens ses poignets pour ne pas qu'elle s'échappe encore une fois. « Je sais pas, à toi de voir. » Ton sourire est taquin et le ton de ta voix aussi. Tu la gardes prisonnière bien contre toi. À ton tour de la pousser à bout.

Les situations se changeaient vite comme l'éclair. J'étais sur lui il y a quelque seconde que maintenant j'étais contre l'herbe avec lui au dessus de moi.Je dois dire , car à l'intérieur de moi je détestais être dominé de cette façon de plus que mes poignets était pris au dessus de ma tête il ne me restait plus que mes jambes de libres. Mes traits devenaient un peu plus rude en lui lançant un regard , mais mon sourire ne quittait pas bien loin le coin de mes lèvres. J'enroulais doucement mes jambes autours de sa taille le ramenant un peu plus vers moi jusqu'à ce que nos lèvres se frôlent et nos souffles se mêlent l'un dans l'autre.«Tu crois vraiment me tenir prisonnière ?» J'essayais de le distraire pour m'enfuir de son emprise et le tenir au piège à mon tour , mais mes mains semblaient bien rester bloquées.

Elle n'apprécie pas du tout la position dans laquelle elle se trouve, et tant, mieux. Tu souris, à elle de suivre ton jeu et tes règles. Elle noue ses jambes autour de ta taille et tente certainement de te distraire en frôlant tes lèvres avec les siennes. « Tu crois vraiment me tenir prisonnière ? » Doucement, tu lâches ses poignets. « Ne t'échappe pas. » Tu la regardes, droit dans les yeux. T'as ce petit sourire coquin aux coins des lèvres, celui qui a déjà fait craquer plus d'une personne. Du bout de tes doigts, tu viens caresser la joue de Zelda. Aller vient, aproche toi encore un peu.

Enfin je sens qu'on me relâche et ma liberté me souris à nouveau.Il ne doit pas vraiment s'en rendre compte , mais contrôler une petite bombe à retardement ce n'est pas une tâche facile nécessairement. Pendant un moment je songe . Devrais-je rapprocher du simple petit centimètre qui nous sépare ou en profiter pour m'éloigner. Je n'ose imaginer sans doute la frustration que je pourrais lui procurer en partant un peu plus loin hors de ses bras. Mais encore je pourrais simplement reprendre ma position initial.«Ça serait trop tentant» Mais par chance je crois être de bonne fois aujourd'hui. Je le pousse pour revenir sur lui et je colle mes lèvres aux siennes.

Tu as réussi à l'apprivoiser ce petit animal sauvage, du moins c'est ce que tu crois. Pendant un instant, elle te regarde, semble hésiter sur ce qu'elle doit faire. « Ça serait trop tentant. » Elle bascule et se retrouve sur toi. T'y étais presque, t'aurais pu la tenir encore pour qu'elle reste sous toi, mais à force de trop l'enfermer elle ce serait surement montrer sur la défensive. « Je.. » Tu n'as même pas le temps de parler qu'elle vient t'embrasser. D'abord t'es surpris puis tu lui rend son baiser tout en passant maladroitement l'une de tes mains sous son tee-shirt. Ça fait bien longtemps que tu n'as pas fait ça. Un sourire aux lèvres tu la regardes.« C'est ton nouveau jeu ? » Le soleil brille dans le ciel et toi tu te réchauffes peu à peu.

J'ai aimé lui donner espoir qu'il avait réussie à gagner. Heureuse il répond à mon baiser en baladant une main timide sous mon t-shirt qui me dérobe quelque frissons par surprise.Il me demande si c'est un nouveau jeux , oui bien entendu , mais celui là il vient tout juste de commencer. Je glisse mes lèvres dans son cou pour qu'il ne se doute de rien du tout . «Il va falloir me suivre.» Je me relevais d'un bond et je me promène entre les arbres me cachant parfois derrière ceux-ci.«Par ici !» Je l'appelle d'une petite voix douce et enjôleuse pour qu'il se jette à ma poursuite. Je crois bien que grâce à mes cheveux il va me retrouver très facilement.

Tu n'a pas pris le dessus non, voilà qu'elle te glisse quelques mots doux à ton oreille. « Il va falloir me suivre. » Et elle profite de te distraire pour s'échapper, encore et toujours. Tu te redresses et tu la regardes partir en trottinant. « Par ici ! » Ça t'énerve, elle t'énerve. Tu mets quelques secondes, mais tu fini par te lever et tu pars à sa poursuite. Tu captes l'éclat de son rire qui semble se promener d'arbre en arbre. Toi, tu marches, mais tu finis par t'arrêter, il n'est pas drôle son jeu. Tu la trouves du regard et tu souris, encore et toujours. « Aller, viens ! De quoi t'as peur ? » Tu n'aimes pas jouer au chat et à la souris. Si elle continue comme ça, tu risques de mal réagir, ton impatience se fait sentir.

Il faut savoir être impatient dans la vie mon cher.Je suis incapable de m'en empêcher avec lui c'est beaucoup trop tentant. Ce qu'il ne sait pas par contre c'est que de cette façon c'est beaucoup plus facile de l'attraper par surprise. Je reviens face à lui.«Moi j'ai peur de rien.» Je le fais reculer jusqu'à ce qu'un arbre heurte son dos et je viens me coller de nouveau à lui.«Désolé si tu ne voulais pas bouger.» Je glisse une main dans son dos qui ondule le long de sa colonne vertébrale et je lui donne un autre baiser. Il ne doit rien comprendre en ce moment. Je pars et je reviens . Je me cache , mais je finis toujours par le coincer quelque part. Il m'amuse et surtout malheureusement je suis tombé sur le charme de ses lèvres.

Elle apparait comme par magie face à toi, tu la regardes, perplexe. « Moi j'ai peur de rien. » T'en doute pas, mais elle devrait faire un peu plus attention quand même. En un rien de temps, tu te retrouves le dos collé au tronc d'un arbre et elle. « Désolée si tu ne voulais pas bouger. » Elle s'amuse avec toi, elle a fais toute la nuit et elle continue encore et encore. Tu sens l'une de ses mains glissées dans ton dos et elle t'embrasse, encore une fois. D'une main, t'attrape son visage et tu le fais basculer d'un côté pour avoir accès à son cou. Tu mordilles doucement sa peau, puis le lobe de son oreille. « Je commence à perdre patience. » Ta voix change, elle est plus dure que d'habitude. Tu ne veux plus jouer, c'est fini.

Va-t'il finir par prendre le contrôle à son tour ? J'aimerais bien le voir fâchée d'une façon à ce que je sois prise complètement au piège pour une fois. À son ton de voix qui vient tout juste de changer après la danse des ses baisers dans mon cou je le vois qu'il peut en être capable. Je lui souris toujours de la même façon je ne lui donne pas raison. En même j'ai envie de lui céder à la façon dont il a mordiller ma peau. «Montre ce dont tu es capable alors si tu n'as plus envie d'attendre.» Je le colle encore plus contre l'arbre et ma main dans son dos se déplace sur son torse vers l'avant. Mes doits le caresse tout doucement en laissant parfois passer un peu mes ongles pour le faire frissonner.

Tu te laisses envahir par l'envie qui monte petit à petit en toi. « Montre ce dont tu es capable alors si tu n'as plus envie d'attendre. » Ton regard croise le sien, tu souris, mesquin. Tu sens ses mains se balader sur ton dos, puis ton torse, elle n'hésite pas à y mettre les ongles. Tu frisonnes, tu l'embrasses et la prends contre toi pour la retourner. A elle de se retrouver contre le tronc maintenant, tu la serres, un peu trop peut-être. T'en a marre de faire dans la retenue et puis elle en demande alors autant lui faire plaisir. L'un de tes mains glisse sous son t-shirt et vient s'accrocher à son soutien-gorge. Tu l'embrasses, croquant sa lèvre au passage. « C'est vrai, tu n'as peur de rien. »

Je le savais déjà que lui ai donné la permission il allait prendre le contrôle sans trop de problème. Il me serre et mon corps son débat en même temps à l'intérieur. Autant j'en ai envie , autant je n'accepterai jamais d'être coincé. Mon corps se réchauffe contre lui et je fond sous ses baisers fougueux. Je viens mêler ma langue à la sienne par désirs.«Chut!» Restons en silence pour une fois . Je finis par réussir à le pousser pour le faire basculer dans l'herbe et me coller contre lui. Je soulève ce t-shirt qui m'empêche d'accéder à sa peau , mais je ne lui enlève pas tout de suite. Mon plaisir commence à arriver.

T'as jamais eu besoin de permission pour faire quoi que ce soit et ça depuis toujours. Tu fais ce qu'il te plait, quand tu le veux. Et si t'es là avec Zelda, c'est seulement, car t'as envie de tirer ton coup, enfin, tu la trouves aussi intéressante et mignonne, surtout mignonne. « Chut ! » Sauf quand elle te donne des ordres et qu'elle veut prendre le dessus. Tu te retrouves allongé dans l'herbe, Zelda est au-dessus de toi, a soulever ton tee-shirt qui dévoile ton torse tatoué. « Ne me donne pas d'ordre. » Tu fais la moue et t'attires Zelda contre toi pour l'embrasser.

Il ne veut pas d'orde , mais il semble vouloir m'en donner. Deux dominants qui veulent contrôler la situation cela ne fait pas forcément bon ménage.«Ne te permet pas de m'en donner non plus alors. »Je lui souris et répond à son baiser pressé contre lui. Je sens que je peux lui donner une chance pour une fois. Je finis par me débarrasser de son vêtement qui m'encombre . Je déplace mes baisers sur cette nouvelle partie de corps qui s'offre à moi et je remonte aussi parfois jusqu'à son cou . Mon imprudence qui me guide dans ces situations. Il reste tout de même un simple inconnu dont je connais uniquement le nom. Sauf que j,ai envie de m'aventurer il m'en donne envie.

Elle est un peu comme toi au fond. Tu la regardes, le soleil brille dans ses cheveux roses. « Ne te permet pas de m'en donner non plus alors. » Tu rigoles doucement, c'est une première, t'as perdu l'habitude depuis un long moment. Tu la regardes se pencher sur ton torse et tu sens ses lèvres parcourir ta peau. Tu frissonnes, tu gémis presque. Te voilà torse nu, allongé dans l'herbe et tu te fais chevaucher par une princesse sortit de tu ne sais où. Tu te redresses et tu l'attrapes pour la faire basculer, ainsi, tu passes au-dessus d'elle. Elle va encore chercher à te fuir, mais tu commences à avoir l'habitude. Tu lui retires son tee-shirt et tu parcours sa peau porcelaine du bout de tes lèvres avant d'aller déboutonner son jeans.