 |  Sujet: Vive le vent ! Mer 9 Avr - 22:18 | |
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Pour commencer une nouvelle vie, une nouvelle coupe est toujours quelque chose de parfait pour une femme. Enfin, c'est ce que c'était dit Cassie il y a maintenant presque 24 heures lorsqu'elle était encore chez son ex-petit ami dans son loft de Toronto. Cela faisait presque deux ans qu'ils étaient ensemble et d'un commun accord, ils avaient décidé de se séparer. Les relations "longue distance", ni Cassie, ni lui y croyaient et la mutation de la jeune femme avait donc mis fin à une histoire compliquée.
Cassie était maintenant dans une nouvelle ville avec une nouvelle coupe à frange qu'elle n'aimait plus autant que lorsqu'elle était sortie du coiffeur. En effet, le vent de Banff envoyait sa crinière dans ses yeux et empêchait la jolie brune de voir le nom des bâtiments. Elle venait de sortir du bus qu'elle avait pris à la gare et était maintenant à la recherche d'un petit hôtel familial dont elle ne se souvenait plus du nom. Alors qu'elle trainait une grosse valise dans sa main droite alors que sa main gauche essayait de remettre sa frange en place, Cassie décida de sortir un bout de papier de sa veste en cuir. Sur ce petit carré était noté l'adresse et le nom de son futur logement pour les deux semaines à venir. Elle venait de réussir à déplier le tout quand un méchant coup de vent envola son dernier espoir de pouvoir enfin se reposer après ce "long" voyage. "MERDE"
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| | Sujet: Re: Vive le vent ! Sam 12 Avr - 16:22 | |
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S’il y avait bien une chose que Lyndon détestait vraiment, c’était le vent. Il tentait tant bien que mal de faire avec le vent qui lui fouettait le visage. Il était sortit de chez lui de très bonne humeur pourtant. C’était fou comme une simple rafale de vent avait tout chamboulé. Il fallait avouer qu’il n’était pas difficile de le rendre de mauvais poil. Il avait complètement oublié ce pour quoi il était sorti quand une feuille vint se coller en plein dans son visage. Putain, c’est quoi cette journée. Il s’apprêtait à jeter le papier avec violence quand il entendit « Merde. » Il garda le papier en main et son cerveau réfléchit vit. Une fille, avec une valise, un papier qui vole… Il fit la corrélation et garda le papier en main. En s’avançant vers elle, il tenta de calmer sa mauvaise humeur. « C’est à vous ? » dit-il.
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