S'il avait bien une personne que je n'avais pas oublié depuis mon arriver c'était ma mère. Ma génitrice elle était un tout pour moi nous étions de vrais jumelle. J'étais partis sans l'avertir nécessairement , mais au fond elle est rester silencieuse sur cela et à commencer à m'envoyer des lettres. Avais-je répondu à l'une d'elle ?sans doute , mais elle n'avait pas de besoin de mots pour s'étaler sur les feuilles. J'avais loué un bureau postale enfin de les recevoir. C'était mieux ainsi dans mon cas. Je ne donne pas d'adresse , car cela ne vaut pas la peine. J'étais donc sortie avec deux lettres à la main à l'extérieur ou je m'étais installé sur un banc pour les lire bien attentivement. Les feuilles si fragiles et légères une m'en échappa des mains et partie comme une poussière. Comme sin un trésor venait de mettre déborer je partis à la course vers celle-ci.«Attrapez moi cette lettre !»j'avais l'aire d'une dingue à courir vers une feuille de papier.

twingo est morte, ses pleures se taisent lentement, s’emmêlent au vent. elle fume, la brume artificielle l’enveloppe. t'as essayé pendant deux heures de la réanimer, tes mains sont noires de graisses, tes cheveux trempés d'effort. une station-service, ouais, c'est ça qu'il te faut. tu verrouilles ta pauvre épave d'une main poseuse. t'as à peine le temps de tourner la tête qu'une bourrasque de vent te gifle le visage. le bruit te surprend, la consistance aussi. ta vue est obstruée et la rafale continue de souffler plaquant cet objet inconnu contre ta peau. tes mains se portent à ton visage, se referment sur du papier. tu le froisses entre tes mains. le noir sur ta peau se couche sur la lettre. des pas résonnent sur le sol. tu relèves la tête et tu les vois. elles courent vers toi. tu sais pas pourquoi, si c'est pour la lettre, si c'est à cause de twingo qui est postée là, sur le trottoir. tes mains se referment sur le bout de papier, tuant un peu plus son contenu.

Je cours , mais je cours contre un simple papier. Un stupide papier qui vaut de l'or. De simple mots écrient qui ont un sens. Une jeune femme se joint à ma course quand elle avait essayer de l'attrapper. J'ai l'impression que je n'aurai jamais le droit à ses mots , qu'ils me sont interdit. Je ne les mérite plus ? Et puis je me disais par la suite à quoi bon c'est une simple lettre. Il en aura d'autre et de toute manière il n'aura pas de réponses.Alors je disais à la jeune femme.«Laisse tomber ça en vaut pas la peine.» Puis il venu un signe.Ma lettre se frappe contre le visage d'un jeune homme. Je souris soulagé jusqu'à ce que je vois qu'elle se froisse tranquillement sous ses mains. Je reprend ma vitesse pour arriver à sa hauteur et je lui prend en lui disant sur un ton sévère. «Mais arrête tu vas l'abîmer!»