elle te plaque contre la porte du bloc, ses lèvres contre les tiennes. vous êtes tous les deux bien amochés par l'alcool. personne ne contrôle les corps, les gestes. elle attrape ta main et se met à courir jusqu'à une seconde porte. là, tu te plaques contre son dos, mets les mains sur ses hanches pendant qu'elle déverrouille le logis. tu fais même pas attention au décor, tu n'attends qu'une chose, qu'elle repose ses lèvres sur les tiennes. vous pénétrez dans son possible appartement.

Un. Deux. Trois. Respire. Tu sentais ses mains tu tes hanches avides de tendresse. Tu sentais des frissons parsemer sur ton corps sous ses doigts enchanteurs. Tu te sentais rire, des petits éclats dans l'air comme une tombée d'étoiles. Enfantine que tu pouvais être. T'ouvrais avec précipitation cet appartement qui n'était pas le tiens, non, tu étais en pleine recherche avec Velvet. Seulement, l'alcool te faisais faire des trucs fous. Peut-être trop dangereux, mais ça te rendait toute chose. C'était les clés d'un appartement que vous aviez visitées. Tout était vide à l'exception de quelques meubles. Lorsque tu sentais la porte s'ouvrir, un sourire naissait sur tes lèvres. Avec envie, tu te retournais sur ce corps que tu allais habiter entre tes reins. T'avais envie de lui, de ses lèvres, de sa peau. Peut-être que ça serait l'amour de ta vie durant une nuit, l'effet de quelques coups de reins, mais ça allait être le tien. Sans attendre, tes lèvres venaient effleurer à nouveau les siennes, ta langue le chatouillait. Tu mélangeais vos souffles dans une danse sans fin, vous n'allez faire plus qu'un. Tu riais, là entre deux lignes rosées. L'une de tes mains derrière sa nuque, l'autre s'emparait de son t-shirt pour l'attirer vers toi, contre toi, en toi. Un peu plus. Plus fort, plus envieuse. T'allais péché dans la luxure, fille de l'enfer. Cheveux blonds, regard océan et enfantin, tu ressemblais à une enfant mais personne ne pouvait se douter que Lucifer était ton père. Le regard brûlant, tu arrêtais tout contact. Tu t'écartais, tu souriais malicieusement. Joueuse, tu faisais quelques pas en arrière pour le faire patienter, pour qu'il puisse te désirer, gagner plus d'intensité. Tu soufflais entre deux rires d'enfant « viens ».

elle riait, ça te plaisait. t'embrasses ses lèvres et tu laisses tes mains la toucher un peu partout. tu t'en donnes le droit, tu sens qu'elle te le donne aussi. vous êtes bien tous les deux. derrière la porte, peu de mobilier, peut-être aimait-elle les choses simples ou peut-être que ça n'était pas chez elle. peu importe, ce qui t'importait là, c'était elle, ses rires, sa bouche, ses hanches, ses seins, ses reins. elle se décolle de toi. c'est qu'elle te cherche en plus. elle laisse échapper un mot. celui qui veut tout dire, celui que tu attendais tant. le feu vert.
tu t'exécutes, tu la suis, doucement. toi aussi tu vas jouer, tu vas la faire languir. tu tends une main vers elle, effleure son bras, puis ses lèvres. elle est belle, elle te plait. elle sera à toi, rien qu'à toi le temps d'une nuit. ça serait une nuit d'amour, sans le véritable amour. ça sera beau t'en es persuadé.

Tu riais avec tes yeux, tu riais avec tes cheveux, tu riais dans ton sang. Une symphonie de rires sans fin, des rires heureux, des rires envieux. Ta peau respirait le désir, ton nouveau parfum c'était l'amour le temps d'une nuit. T'avais froid sans la chaleur de ses doigts, t'avais froid sans sa peau qui couvrait ton corps peut-être trop frêle. Le regard planté dans le sien, tu le désirais quand il touchait ton bras, quand ses lèvres venaient rejoindre les tiennes. C'était donc ça ta nouvelle vie Cappie, c'était ton nouveau plaisir. Ivre d'alcool, ivre d'amour. Tu faiblissais sous ses caresses. Tes mains pleines de douceurs venaient caresser la chaleur de ses cheveux. Cheveux de feux, cheveux du diable. Puis ses yeux, c'était une profondeur sans fin. C'était l'ouragan qui venait chavirer les tiens. Les étoiles veillaient sur toi jolie poupée, tandis que toi, toi tu parsemais des marques grâce à tes lèvres sur sa mâchoire. Tu redessinais ses traits, envieuse de les imprimer, de les toucher. T'allais le connaître par coeur; à l'extérieur, à l'intérieur ou encore en profondeur. Des petits pas, tu bougeais, tu le dirigeais. T'ouvrais une porte grâce à ta main que tu libérais de sous ton t-shirt où t'apprenais son corps. Un nouveau langage, celui des enfants qui vivent d'amour le temps des nuits. Les nuits pleines d'étoiles, les nuits sauvages. Sauvage de la liberté, peut-être sauvage d'apprendre à exister pour avancer.

tu la dévorait de partout. avec tes lèvres, avec tes yeux, avec ton souffle. tu l'attrapes par les hanches et l'attire contre toi. t'as tellement envie d'elle, tu veux que ce soir ça soit un poème, votre poème à tous les deux. t'embrasses ses lèvres avec une tendresse sans nom, une tendresse que peu d'hommes peuvent donner. t'essaies de te rendre unique à ta manière. tu fais sauter son haut et puis le tien. ce soir vous êtes tous les deux sur le même piédestal. pas de dominant, pas de dominé. tu donneras, elle donnera. c'est ça qui te plait au fond, l'échange. tu parcours les nouvelles parties de son corps qui te sont offertes. son cou, le haut de ses seins, son ventre. tu t’assoies au bord du lit et tu l'attires vers toi, de manière à ce qu'elle se mette à cheval sur tes jambes, face à toi. tu presses ses hanches. t'as tellement envie de ne faire qu'un avec elle, de la connaitre de tout ton être. doucement, tu caresses son maigre ventre, joue avec le bouton de son pantalon. tu la sens frissonner. et pour ta part, tu sens que ça commence à chauffer.

Tu frissonnais sans interruption, tu sentais ton haut voler dans l'air. Tu le voyais retirer le sien, puis à l'aide de tes mains, tu venais caresser son corps. Son corps d'amour et d'amant. Il s’asseyait sur le bord du lit, puis toi, tu venais loger tes jambes aux côtés de ses hanches. Tu sentais une pression sur tes hanches, il avait envie de toi, en toi, contre toi. A deux, à l'unisson. Tu voulais crier, entre ses lèvres, lui tes reins. Tu l'embrassais, toujours, avec passion, précipitation. Ton souffle venait chatouiller sa peau, tu laissais tes envie le traverser. Puis toi, tu prenais soin de déboutonner son pantalon. Tes mains venaient de quitter son corps, son coeur. Tu l'enlevais, tu t'étais un peu reculer. Tu voulais le saisir, le sentir. Tu voulais lui faire plaisir, entre tes lèvres, entre tes mains. Seulement, tu ne pouvais pas t'empêcher de revenir te loger contre lui. Ses caresses te rendait envieuse. Tu te consumais comme une cigarette. Il était le briquet, la flamme qui venait claquer dans l'air. Puis il tirait sur le bout de la cigarette, et toi, tu brûlais. Ton regard montrait tout le désir que t'éprouvais pour lui. T'avais envie de lui dire, de lui montrer, de le crier. « putain j'ai envie de toi » que tu chuchotais à son oreille avant de t'écarter pour retirer complètement son pantalon qui t'encombrer beaucoup trop.

son regard en disait tant. ça ravivait la flamme en toi. elle fait sauter ton pantalon, tu ne tarde pas à sensuellement faire sauter le sien. tu embrasses sa bouche, ses seins. tu la veux, maintenant. tu veux la sentir près de toi, elle est ton aimant, tu es son amant. tu soupires de plaisir, tu te lèves et tu l'allonges sur le lit, venant de lover entre ses jambes. vos deux noyaux brûlants entre en contact, tu fais des mouvements du bassin en l'embrassant dans le cou. tu la mordilles dans le cou, partout. tes mains caressent son visage d'ange. tu la regardes, tu lui souris. tu détaches son soutien-gorge pour venir embrasser réellement ses seins. plus rien ne sépare vos deux poitrines. vous êtes quasiment tous les deux à nu. tu joues avec le bout de ses seins, tu la sens frissonner, encore et encore. tu souffles sur ses lèvres, plonge ton regard océan dans le sien.

Les dernières barrières venaient s'échouer le long de vos deux corps entrelacés, noués, comme des amants interdis le temps de la nuit étoilée. Ses baisers sur ta peau, c'était comme des appels à la mort, tu succombais au désir et au péché. La luxure. C'était tout ton corps, ton coeur qui prenait feu. Il était désireux, lui aussi. Tout comme toi. Plaisir partagé, plaisir heureux. Puis il était là, en toi, contre toi. Tu frissonnais de désir, tes lèvres s’entrouvraient, tu gémissais. Tes yeux se fermaient sous le désir. Tu étais partie dans les flammes de l'enfer à nouveau, l'esprit embaumé par ses caresses et sa virilité. Le pacte du diable, à nouveau. Signé avec cet élément, le feu. Ta poitrine naissante trouvait refuge sous ses doigts chaleureux, puis toi, tes mains venaient caresser sa peau. Tes lèvres embrassaient son cou, tu y déposais ta marque en mordillant légèrement. D'égal à égal, tu lui réservais le même sort que celui qu'il te donnait. Son souffle se mélangeait à tes expirations saccadées, dans un joyeux balai, vos deux corps s'unissait, sans fin, sans attendre d'avoir une faim dévorante. T'étais déjà dévorée et déflorée Cappie. Puis ton regard dans le tien, c'était peut-être de trop. Tes jambes encerclaient son bassin, possessive. Tu le pouvais plus contre toi, en toi. Ton corps se cambrait, tu bougeais sous ses caresses, sous ses coups de reins.

tes coups de reins se font plus longs, plus larges, plus ouverts, plus grands, plus bandants. ton souffle s'accélère un peu, tu la veux. maintenant. tu descends une de tes mains, joue avec son ventre, sa culotte, ses seins. tu la mets à nue, ça y est. elle t'appartient, rien qu'à toi, rien que pour toi. tu caresses l'intérieur de ses cuisses tout en la dévorant du regard, des lèvres. ses frissons sont accentués, preuve que tu lui fais tout plein d'effets. tu lui souris un peu, te mords la lèvre, désireux. puis ça y est, tu entres en jeu, tes doigts viennent doucement se perdre contre elle, formant des cercles, entrant en elle. t'es doux, comme un agneau. elle est belle, comme une comète. elle est brûlante, toi aussi tu brûles pour elle, tu brûles d'envie. la bosse sous ton caleçon en témoigne. tu la désires tellement.

T'étais une bombe à retardement, pleine de désir et d'envie. T'étais à lui, pour son plus grand plaisir. Ses doigts venaient déposer des marques chaleureuses sur une peau quémandant un peu trop d'amour. Les pores de cette enveloppe porcelaine frissonnait, ta culotte vacillait. Tu le sentais venir, tu le sentais gonfler dans son caleçon où il était à l'étroit. Tu souriais, malicieusement. Tu lui donnais envie, et toi, ça te rendait encore plus brûlante. Tu faisais encore ton effet Cappie, avec tes yeux océans trop grands et tes airs de gamines échouées sur le rivage, ouais. Le rivage d'une plage au sable un peu perdu dans l'immensité d'une liberté que tu découvrais, sans limite. Tu gémissais, pour lui, contre lui. Ses doigts te faisaient l'effet d'un poète, les vers de Baudelaire entre tes cuisses, ton regard se perdait dans la pièce. Tu fermais les yeux, tu te concentrais sous le plaisir ardent qui t'habitais. Tu sentais sa douceur, sa tendresse. Il était fin, il était comme un magicien. Maître de ton désir, enchanteur magique entre tes reins. Tu gémissais, encore. Tu te mordais les lèvres, témoignage d'une envie démesurée. Tu étais humide Cappie, t'étais cambrée. Fille de l'enfer, joueuse avec les flammes, tu dansais sous ses mains faites pour le péché de luxure. Ton excitation se ressentait de toute part, tu frissonnais. Puis enfin, tu voulais le libérer, tu voulais l'enchanter, là, dans cette chambre aux murs trop blancs et curieux de votre ébat. Tu te redressais légèrement, le regard brûlant. Tes mains qui s'étaient logés contre le matelas, tu les bougeais pour qu'elles puissent toucher l'élastique de ce caleçon qui retenait sa virilité. Tu faisais danser tes doigts, tu jouais avec l'envie que tu lui donnais. Le sourire joueur, tu plantais tes yeux dans les siens. Il était beau, là, contre toi.

t'en peux plus là, tu veux plus y aller par quatre chemins. tu insistes encore quelques instants sur tes doigts dans son vagin. tu la sens prête, t'es tellement excité. en plus, elle commence à faire danser ses doigts près de ton sexe à toi. tu attrapes sa main, tu deviens un peu animal sur le coup. t'es assez que ça soit un peu animal. tu repousses sa main, yeux dans les yeux. puis tu baisses le reste d'habits qu'il restait sur toi. vous êtes nus tous les deux, ton sexe est prêt à la faire monter au septième ciel. tu te mets entre ses cuisses, prends ton sexe en main et le pointe à l'entrée de son vagin. tu viens embrasser ses lèvres, tu la défies du regard puis tu la pénètres, doucement.

T'avais les yeux brûlants de désir pour sa jolie frimousse. Tu souriais un peu, tu mordais tes lèvres. Ton corps réagissait sans attendre sous ses caresses. Puis tu le sentais, il était excité comme jamais. Il te prenait la main, de manière brutale. Tu souriais encore un peu, tu lui donnais envie, c'était ce qui t'importais. Tu le voyais descendre ses vêtements, la dernière barrière. Tu regardais son membre durci avec envie, tu voulais qu'il te prenne, là, maintenant, sans attendre. Les yeux envieux, t'embrassais ses lèvres pis tu venais pincer les tiennes après. Il était là, il attendait un petit instant, celui où t'aurais pu lui hurler dessus "prends moi". Tu le pensais, t'en pouvais plus d'attendre. Et là, c'était ta délivrance, sûrement la sienne à son tour. Tes yeux se fermaient sous le désir, tu gémissais entre deux lignes rosées. Tu sortais un léger putain sous ses coups de reins, t'étais envieuse, brûlante. Ton corps se cambrait, ton bassin réagissait sous son membre durci contre le tien. C'était bon, putain que c'était bon.