La main crispée sur la poignée, Asher entre dans la salle qu’on lui a désignée. La lumière le surprend, et il doit battre des cils avant de s'habituer à la clarté. Il referme derrière lui, ses yeux explorant la pièce. Ses pas le guide vers le centre, où s'entassent, sur un plan de travail, un poste de radio, des bouteilles -il consulte rapidement les étiquettes- contenant des huiles de massage, des serviettes et une bougie. Il craque une allumette et avec précaution approche la flamme créée près de la mèche, qui s'enflamme. Il la repose délicatement, observant la lueur dorée. La pièce s'embaume en quelques secondes d'un léger parfum boisé. Il entend l'autre porte s'ouvrir.

Une nouvelle salle. Huiles de massage, table de massage, une fois de plus, tout avait été prévu. Une légère odeur flottait dans l'air, plongeant vos deux êtres dans l'ambiance. Tu te demandais si sept minutes suffisaient pour se faire masser. Tu marchais vers l'homme qui venait d'entrer. Tu déposais doucement tes lèvres sur les siennes. Après un court mais sensible moment, tu reculais d'un demi pas, gardant une certaine proximité. L'air timide, tu attendais un quelconque mot.

Je venais donc de quitter la salle lugubre, et autant vous dire qu'en poussant cette nouvelle porte, c'était l'incroyable luminosité qui m'avait dans un premier temps surpris. Mes prunelles avaient d'ailleurs eu du mal à s'y habituer, prenant bien quelques secondes et quelques battements de paupières pour enfin y voir plus clair. Il s'agissait d'une jeune femme, brune, plutôt jolie, au bras entièrement tatoué. Je crois que je n'avais d'ailleurs jamais vu autant de tatouages sur une femme, mais ça, c'était principalement parce que je ne connaissais rien à la vie. M'approchant d'elle, je m'inclinais légèrement en murmurant un « Coucou. » quelque peu timide. Oh et il fallait que l'on s'embrasse encore ? J'allais peut-être attendre qu'elle fasse le premier pas alors, l'ayant déjà fait la rencontre passée. « Moi c'est Basile. » mon regard détaillait alors la table ainsi que les huiles de massages. « Oh... je crois qu'il faut que... enfin... » je désigne tout le matériel. Oui, je crois que l'un de nous va devoir faire tomber le haut, hm.

L'odeur boisée de la pièce se répand, alors que tes yeux restent fixés sur ceux d'un certain Basile. Basile, timide, joli. et moi c'est joa. Tu tentes un léger sourire, sois agréable Joa. Son regard se tourne vers la partie essentielle de la pièce. D'un air gêné, il tente de faire une phrase, finalement pleine d'hésitation. je crois. ça serait bête de ne pas en profiter. Tu fais alors quelques pas, vers la table de massages. tu veux que je m'allonge ou.. tu veux t'allonger toi ? Autant poser la question.

Je soupire quelque peu face à ma timidité. C'est que je ne sais jamais trop quoi faire dans des moments comme celui ci. C'est trop compliqué, et je ne suis définitivement pas à l'aise avec le fait de rencontrer des gens dans un cadre aussi intime. Peut-être n'aurais-je pas du m'inscrire au final... Non, il fallait que je vois ces rencontres comme étant les plus simples possibles. et moi c'est joa. « Comme "joie" ? » repris-je quelque peu surpris, armé de mon accent français. Ça avait à peu près la même sonorité, je trouvais ça plutôt joli. je crois. ça serait bête de ne pas en profiter. Mes yeux océans détaillent un instant le visage de la jeune femme avant de dévier sur la table. tu veux que je m'allonge ou.. tu veux t'allonger toi ? « Hm... comme tu veux. Mais je ne suis pas franchement doué de mes mains, alors je crois que j'aurais un peu peur de te faire mal. » je n'avais pour ainsi dire jamais masser, mais comme j'étais connu pour être plutôt maladroit...

Ton regard se perd dans le sien, avec les secondes, qui défilent déjà trop rapidement à ton goût. Ces sept minutes, elle peuvent paraître courtes, ou beaucoup trop longues. Tu souris quand il prononce le mot joie. c'est ça, joie, pour faire croire que l'arrivée d'une fille dans la famille était appréciée. au fond, ça devait être un joe, je crois. Tu t'étalais un peu trop, une demi-heure de plus ne t'aurait sûrement pas gênée. Il parle, un nouveau sourire pour toi. c'est pas très grave, je suis aussi nulle. Sourire timide. sinon, on fait deux minutes chacun. honneur aux filles ? Au fond, ça t'es plutôt égal. Et puis, t'as toujours été celle dont on se préoccupe le moins.

Sept minutes, c'était réellement court. Le temps que je me débloque totalement, et cinq d'entre elles s'étaient déjà écoulées. Oui, je n'aurais pas le temps de faire grand chose. c'est ça, joie, pour faire croire que l'arrivée d'une fille dans la famille était appréciée. au fond, ça devait être un joe, je crois. C'était une plutôt bonne idée, il fallait l'avouer. Ça avait le mérite d'être original au moins, hm. Je lui expliquais donc que je n'étais pas très doué de mes mains ce à quoi elle me répondit. c'est pas très grave, je suis aussi nulle. sinon, on fait deux minutes chacun. honneur aux filles ? je me mordais le temps d'une poignée de secondes la lèvre inférieure avant de lui indiquer la table. « D'accord, hm... soyons nuls à deux alors ! » nouveau sourire étincelant. « Eh bien hm... installe toi. Et je crois que... enfin il faudrait que tu hm... retires... » je désigne son haut d'un geste plutôt aléatoire de la main, sans trop oser finir ma phrase.

Tu savais pas trop pourquoi tu lui avais confié l'histoire de ton prénom, mais pourquoi pas. Il souriait. T'aimais le voir sourire. Tu te sentais un peu plus à l'aise, au fil des minutes. T'en venais à te demander si leur bougie n'avait pas un effet relaxant. nuls, ensemble. Tu souriais à ton tour. Deux timides, bien nuls. Il te laissait t'allonger, précisant, gêné, que tu devrais peut être enlever ton haut. Il avait toujours l'air innocent, avec sa part de timidité. hm oui, je pense. Tu te tournais un peu, te plaçant de trois quarts. Tu faisais doucement glisser ton haut sur ta peau blanche, découvrant d'autres tatouages. Tu te plaçais face à la table, te retrouvant de profil, évitant ses yeux océan. Tu t'allongeais, tournant alors ta tête vers lui. bon, voilà, à toi le nul. Léger sourire.

Dès que j'ai mis mon pied dans la salle je me mis à rire. Mj se trouvait devant moi. Ma nouvelle colocataire , la jeune femme avec qui je m'amusais bien. Il serait bizarre de l'embrasser et de continuer à la croisée tout les jours , enfin sans doute pour elle , car au fond mon esprit en est pas tracasser. Je l'embrasse sans me poser de question puis je lui lance par la suite. «Compte pas sur moi pour te faire un massage.» Je me mets à rire ce n'était pas si désagréable à mes lèvres.

tu venais de sortir de la cave et tu te mis à rire une fois que tu rentras dans la nouvelle salle. la personne de ton speed dating était zelda, ta nouvelle colocataire. et bah dis donc, j'pensais pas un jour t'embrasser ! tu t'approchais alors d'elle et tu lui donnas un léger baiser. t'avais déjà embrassé des filles auparavant, et à chaque fois c'était pour rire. t'avais remarqué que les filles embrassaient différemment, que leur baiser était plus doux, et ce fut exactement la même chose avec zelda. oh non ! j'ai trop mal au doooos, t'es sur que tu veux pas ? tu lui faisais limite les yeux doux. et puis en échange je te ferai un super repas ce soir !

À chacun des baisers que je devais échanger je ne tardais pas très longtemps sur les lèvres.Mon baiser avec ma m'avait fait rire . Elle tentait de me convaincre de lui masser son dos . Je pourrais le bien faire sans huile seulement de mes mains nues. Je dois avouer que depuis elle est avec moi je me suis attaché à ses repas qui me rappelle de ceux de ma mère et de ma voisine . D'accord allonge toi ! Je la poussais vers la table de massage en riant.

et t'avais réussi à la convaincre. t'allais t'allonger sur la table de massage pour qu'elle puisse te faire un massage et là, une personne rentra. il était chargé de nettoyer la salle. oh et bien ce sera pour une autre fois alors ! t'allais pas non plus te déshabiller devant lui. il vous dit que vous aviez le droit de sortir prendre l'air par la porte qui se trouvais dans l'angle. ça te dit on va se fumer quelque chose ?

Spoiler:

Le massage fut écourté très rapidement lorsqu'un homme fit son entrée dans la salle. Elle me proposait d'aller fumer au même moment. J'espère que j'aurai le droit à mon repas quand même.«Ouais !» Je me retournais vers l'extérieur avec Mj.«Alors tu as fais des belles rencontres ?»

Spoiler:

elle aussi avait envie de sortir. tu t'étais approchée de la porte et avais tournée la poignet. de l'air. ça faisait du bien de prendre l'air. c'était sur un petit balcon que donnait la porte. il y avait deux tabourets. tu t'assis sur un et regardais zelda. la lumière du soleil s'étaient posée sur elle, il ne faisait pas si froid que ça. hum et bien "belles" je sais pas si c'est le mot. j'dirais plus perturbantes. j'ai jamais fais ça avant. ça fait bizarre. mais je pense pas que je les reverrai un jour... et toi alors ? tu sortais de ta poche un pochon avec des feuilles et tu tabac. tu allais te rouler un joint.

Je me retournais en tête la raison de pourquoi j'étais venu ici , mais malheureusement elle ne venait pas dans mes mains. À quoi bon de venir rencontrer des gens si je le sais très bien que je n'aurai pas l'envie de les revoir. Au fond de moi je cherchais à m'occuper , mon pauvre esprit amoché.«Je ne crois pas les revoir non plus. Ce n'est pas les rencontre les plus extraordinaire que j'ai eu.» Je la regardais rouler son joint dans mon cas je restais à ma cigarette que je venais d'allumer.

tu savais que ça allait être drôle de faire tous ces speed dating toute la journée, mais tu étais persuadée que tu n'allais pas rencontrer la personne. zelda te disait la même chose. tu soupirais légèrement. puis t'allumais ton joint. si t'en veux tu me dis hein ! tu tirai un peu dessus et repris en tout cas, merci beaucoup de m'avoir acceptée chez toi. ça fait que quelques jours que j'ai emménagé et je me sens déjà comme chez moi !

Elle m'offrait son joint. «Non je fume rarement ce genre de choses.» Oui j'étais plus sage que j'en avais l'aire au fond les seule joint que j'ai partagé c'est avec ma meilleure amie qui est bien loin maintenant. Elle me remerciait de l'avoir accepté chez elle. Cela à été une sorte d'étape pour moi de me convaincre de partager mon coin.«Pas de quoi !»