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Tu ne savais même pas pourquoi vous continuiez à jouer. En fait, l'alcool t'empêchait de réfléchir correctement, et tu agissais à l'instinct. Tu avais toujours été un homme spontané, Lilo. Tu pouvais sortir des choses sans réfléchir, sans même imaginer l'éventualité que ça puisse vexer qui que ce soit. Comme l'avoir défini de "pupute" quelques jours plus tôt, ce qui ne voulait pas dire grand chose, finalement. " C'est une bonne chose." Qu'il ne soit pas Adrix la pupute, oui. Et tu frissonnes en sentant ses lèvres sur ta peau, finissant par l'aider pour qu'il enlève son haut. Il te murmure qu'il n'a jamais été infidèle, et toi tu te contentes de l'embrasser à nouveau, déposant ta main sur sa mâchoire pour intensifier le baiser. Tu as anormalement chaud lorsque tu sens ses doigts parcourir sa peau, si bien que tu enlèves à ton tour ton t-shirt, finissant par te coller tout contre Adrix. A sa confession, tu recules légèrement la tête pour pouvoir le regarder dans les yeux. " Ça n'a pas dû être facile." tu lui murmures. Tu avais grandi au sein de ta famille biologique, toi. Mais tu ne bois pas, tout simplement parce que tes deux mains sont occupées à être sur le beau blond. Qu'importe. Tu avais assez bu. Après l'avoir fixé un court instant, tu l'embrasses encore. Ses lèvres, puis sa mâchoire, pour finir à son cou puis ses épaules musclées. Une de tes mains parcourt sa colonne vertébrale. " Je n'ai jamais été capable de dire ce que je ressens à quelqu'un." tu confies alors.

Je dévalais son corps avec patience et minutie. Oh oui, je préférais prendre mon temps, et apprendre à le redécouvrir toujours un peu plus. L'alcool alourdissait légèrement mes moindre mouvements, alors que chacun de ceux ci étaient pourtant délivrés avec une incroyable délicatesse. Contrairement à l'image que je pouvais renvoyer, j'étais quelqu'un de foncièrement doux, quelqu'un qui ne souhaitait jamais presser le pas, de peur d'effrayer l'autre, mais également de gâcher le moment. Ce moment que j'idéalisais d'ailleurs toujours un peu trop. Une fois le tee shirt du garçon retiré, je me permettais de laisser ma main parcourir son torse, s'arrêtant à sa ceinture, pour mieux remonter jusqu'à sa mâchoire. Et puis, il me dit que ça n'a pas du être facile. Et en effet, mon enfance n'avait pas été celle de ces autres gamins. Pourtant, j'avais appris à me débrouiller seul, sans l'aide de qui que ce soit. C'était peut-être pour cette raison que je m'en sortais aussi bien aujourd'hui. Un long frisson parcouru mon échine lorsque le garçon décida de se l'approprier. Il n'avait jamais dit ce qu'il ressentait à l'égard de quelqu'un. Mes prunelles se posèrent un court instant dans les siennes avant de murmurer un léger « T'as rien à prouver. » là dessus, mes lèvres s'étaient définitivement emparées des siennes, mon corps se collant à celui du beau brun, tandis que mes mains dévalaient ses bras, pour par la suite s'appliquer à lui défaire sa ceinture. Oh et pour le je n'ai jamais... disons que mes pensées étaient maintenant bien trop concentrées ailleurs pour penser à le relancer, hm.

C'était étrange, mais plus tu apprenais à connaître Adrix, plus tu l'appréciais. C'était sûrement censé t'effrayer, mais en cet instant ton corps n'était que frisson à son contact. Ta main ne cessait pas de faire des allés retours lents dans son dos tandis que l'autre était sur sa nuque afin de pouvoir mieux l'embrasser. Est-ce que tu avais quelque chose à prouver ? Sûrement pas, et Adrix venait à le confirmer. "Je sais." tu susurres contre ses lèvres avant de l'embrasser encore avec passion, à en perdre haleine. Tu en viens à ton tour à détacher maladroitement sa ceinture après avoir laisser tes mains parcourir lentement son torse. Tes lèvres, elles, s'attaquent à sa mâchoire carrée.

Et dire qu'en début de soirée, j'en voulais encore au garçon d'avoir plaisanté de la sorte à mon sujet, il était certain que ce genre de pensées ne parcourait maintenant plus ma tête. Oh non, tous mes murmures étaient dirigés vers ce corps, mais également vers toute sa personne. Lilo me plaisait, c'était indéniable, et de toute évidence, je ne parlais pas que de son physique. Bien évidemment, ça avait été le cas lors des premières fois. Mais j'avais l'impression de le connaitre de mieux en mieux, et une part de moi s'était attachée au garçon. Et alors que je sentais son souffle chaud se disperser le long de mon cou, je terminais de dégrafer son pantalon, glissant lentement une main le long de son fessier, pour l'attirer toujours un peu plus contre moi. Un soupir s'échappait d'ailleurs de mes lèvres, sous les baiser du jeune homme. L'alcool m'avait peut-être fait légèrement perdre la raison, mais il était certain que je profitais de ce moment comme jamais.

Apparemment, l'alcool rendrait les gens plus attirants. Tu n'avais franchement plus les idées clairs, là, Lilo, pour confirmer cette étude, mais tout ce que tu savais c'était que tu ne pensais à rien d'autre qu'à Adrix, à ce moment là. A ses lèvres sur ta peau. A ses mains sur ton corps. L'alcool rend tes gestes un peu moins sûr et précis, voire même maladroit, mais tu réussis tout de même à déboutonner son pantalon. Et tu frissonnes un peu plus lorsqu'il diminue encore plus la distance entre vos deux corps. Tes lèvres, elles, s'occupent de couvrir la moindre parcelle de son cou, de sa mâchoire, pour revenir inévitablement jusqu'à ses lèvres. Ses lèvres dont tu ne te lasses pas, et que tu redécouvres à chaque fois. Tu as le souffle court, Lilo, et le corps qui commence à bouillonner. Une de tes mains glisse le long de son dos musclé pour finir sur ses fesses, tandis que l'autre se dépose sur sa hanche. A cet instant, tu n'es franchement plus maître de tes pensées, ni de tes actions.

Ma tête se vide un peu plus à chaque nouveau baiser délivré par le jeune homme. Je crois que je ne pourrais jamais m'en lasser, oh ça non. L'alcool n'avait même plus d'importance à ce stade là, mon corps était déjà entrain de s'enflammer sur place. Comme une allumette. Mes doigts déjouaient le moindre de ses grains de beautés, s'appliquant avec une exquise douceur à lui déposer ici et là quelques caresses. Mon palpitant s'emballe, pompe encore et encore, toujours plus fort alors que je sens une nouvelle bouffée de chaleur s'emparer de mon corps. Une bouffée de chaleur qui me fait soupirer, là, tout contre les lèvres de mon amant. Ces lèvres qui dévièrent peu à peu le long du torse du beau brun, alors que je passais eu dessus de lui, détaillant ses abdominaux, alors que mes doigts s'appliquaient à le priver du moindre bout de tissu recouvrant son corps. Il était là, entièrement vulnérable, à l'assaut de mes caresses, tandis que mes lèvres remontaient aux siennes. Mes doigts, eux, déposèrent quelques tendresses le long de ce fruit défendu, comme pour la première fois.

Tu n'es plus qu'à la merci d'Adrix. De ses caresses et de ses baisers. Ton corps entier lui appartient en cet instant. Ton coeur cogne de plus en plus fort contre ta cage thoracique, tandis que ton corps devient de plus en plus brûlant au contact du beau blond. Tu lâches de légers soupires en sentant ses lèvres sur ton torse, tandis qu'il se place au dessus de toi, complètement dominé par le beau blond. Tes muscles se contractent en sentant ses caresses, et ton corps se soulève légèrement, tandis que ta respiration se fait de plus en plus forte. Une de tes mains se dépose sur sa nuque, tes doigts glissant dans ses cheveux, intensifiant d'autant plus votre baiser. Ton autre main, elle, s'occupe tant bien que mal à le débarrasser du dernier bout de tissu qu'il lui restait sur le corps. Tu caresses le bas de son dos, puis son fessier, et tes doigts finissent par se déposer le long de son intimité, avec délicatesse. "J'ai envie de toi. Maintenant." tu murmures contre ses lèvres, alors que celles-ci dévient jusqu'à son oreille que tu titilles.

Là, sous ses caresses, mon corps se courbait un peu plus à chaque nouvelle attaque. Et j'en voulais encore, oui, toujours plus. Alors, mes lèvres assiégeaient les siennes en un baiser toujours un peu plus envieux, toujours un peu plus passionné. Peut-être de plus en plus sauvage également. J'avais besoin de le sentir là, tout contre moi, toujours plus près. Encore plus près. Alors, mes doigts avaient lentement glissé le long de son anatomie, alors que je perdais les derniers bouts de tissus recouvrant mon corps. Un long soupir s'échappa finalement de mes lèvres, là, tout contre sa bouche, lorsque le jeune homme s'appliquait à faire battre un peu plus mon palpitant. De tout mon être, j'avais ainsi longé le corps du beau brun, déposant quelques baisers ici et là, le long de son intimité. Sur ses quelques mots, un sourire avait fini par dévoiler mes dents parfaitement blanches alors que je tendais le bras pour ouvrir le tiroir le plus proche, attrapant ce filet de protection que je glissais le long de mon intimité. Là, remontant tout contre ses lèvres, un bruyant soupir s'échappa finalement lorsque je m'emparais de son corps.

Ton désir pour lui ne faisait que s'agrandir de plus en plus à chaque seconde. Et ça se sentait dans ta manière de l'embrasser, de le toucher. Tu le voulais, lui. Là. Ton corps tout entier te criait qu'il voulait Adrix. Il n'y avait qu'à voir ces sortes de mini spasmes qui s'emparaient de toi à chaque caresse, à chaque baiser que tu recevais. Il n'y avait qu'à voir ton souffle court. Il n'y avait qu'à voir ton corps qui se courbait au contact de ses lèvres sur ton corps. Sur ton anatomie. Ton corps tout entier s'enflamme. T'as envie de lui, et tu le lui dis. Tu ne peux franchement plus attendre, ton excitation était arrivé à son comble. Et il était sûrement temps d'assouvir cette envie grandissante. Un râle de plaisir s'échappe de sa bouche lorsque tu le sens prendre possession de ton corps, de toi tout entier. Tu empoignes les draps, tandis que ton souffle se fait plus fort. L'alcool avait beau embrouiller ton esprit, ton corps, lui, ressentait toujours le même plaisir, si ce n'était qu'il était encore plus décuplé.

Là, sous mes caresses, son corps s'enflammait. Là, sous ces quelques douceurs, je lui appartenais autant qu'il m'appartenait. Et au fur et à mesure que je sentais cette envie s'éprendre de mon corps, mon coeur tapait un peu plus contre ma cage thoracique. Mes mains parcouraient son corps sans retenue, jouant avec ce fruit défendu, s'appliquant tout particulièrement à lui faire ressentir tout ce que je pouvais éprouver à cet instant présent. Mes lèvres rejoignaient à nouveau les siennes, tandis qu'un nouveau râle était lâché, là, tout contre lui. Je le voulais, plus que tout, et tout mon corps ne désirait plus que de lui faire comprendre. Mes lèvres jonchaient sa mâchoire, son cou, au fur et à mesure que la fréquence s'accélérait, alors qu'un frisson faisait trembler mon corps entier. Je n'avais plus la notion du temps, là, sous ses caresses, et dans un ultime effort, mes muscles se décontractèrent finalement alors qu'un long soupir s'échappait tout contre les lèvres du jeune homme. Ma respiration se voulait saccadée, et pourtant, un sourire s'était finalement dessiné sur mon visage tandis que quelques baisers courraient le long des lèvres du beau brun. Mes caresses continuaient, encore et toujours, jusqu'à l'osmose de nos deux corps.